Conçu en 1999, cela est un peu surprenant. Il y avait donc une bonne perspective fondamentale puisque aujourd'hui les ressources du web 2.0 le rendent presque facile à réaliser.
Faudrait cependant trouver une manière plus visuelle, plus internet de le présenter. Le discours, ça séduit les historiens, les éditeurs, les profs.
C'est l'intérêt pour d'éventuels partenaires financiers privés qu'il faut trouver.
Avec les millions et les millions investis dans la numérisation des vieux périodiques dans le monde, il y certainement un marché très lucratif au-delà du simple balayage numérique pour la réédition des vieux périodiques.
Ce n'est quand même pas possible que dans 5-10 ans, on soit encore devant des fichier pdf qui s'ouvrent dans des fenêtres trop petites, peu malléables, sans aucune des applications autour pour annoter, sélectionner, transcrire, regrouper des articles, indexer, cataloguer... C'est -à-dire toutes les applications qui sont déjà disponibles dans des sites web 2.0, qui eux, seront rendu au web 4.0 sans doute. C'est sûr que nous sommes dans la préhistoire de la réédition de périodiques anciens. C'est sûr, en autant que des gens se mettent à penser à ce que ce serait.
[Trouver une manière d'attacher le doc du Boréal nouveau au blogue]
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire